Encore un auteur américain qui n’aura pas été très prolifique. Encore un auteur américain qui n’aura pas été très prolifique. Né le 2 octobre 1944, il est décédé le 20 mars 20242024.
J’ai découvert cet écrivain avec Les Traquenards de Giri (The Witling), mais il ne m’avait pas particulièrement emballé. Au point que je n’ai pas gardé ce volume.
Par contre Un feu sur l’abîme m’a vraiment plu au point de l’avoir lu plusieurs fois. J’ai rater La captive du temps perdu (Marooned in realtime) à sa sortie en France en 19961996, et il va me falloir trouver un moyen de compenser cette erreur.
Titre original : A fire upon the deep (19921992) Quatrième de couverture : L’expédition straumlienne est tombée sur un trésor aux confins de la Galaxie : une mine de programmes inconnus dans les Archives d’une civilisation disparue.
Mais, en l’explorant, elle éveille une Perversion, une Intelligence Artificielle qui ne songe qu’à soumettre et à détruire. Toutes les civilisations. Toutes les formes de vie.
Deux enfants parviennent à s’échapper. Ils emportent avec eux le seul remède possible. Mais ils sont incapables de diriger leur navire...
Quatrième de couverture : Issus du peuple Straumli, Joanna et Jeffri, encore enfants, ont fui à travers la Galaxie une Perversion quasi divine éveillée par une expédition imprudente. La Perversion a détruit des civilisations entières. Mais le navire portant les deux enfants a réussi à gagner la Lenteur, une région où les systèmes informatiques les plus performants, et même les si lentes intelligences biologiques, subissent une perte de leurs facultés. Et il a atteint une planète dont le développement est comparable à celui de notre Moyen Âge, habitée par des meutes de chiens intelligents, les Dards. Dix ans plus tard, ayant survécu aux conflits féodaux des Dards, Joanna et Jeffri ont été rejoints par Ravna et son vaisseau. Ravna tire de leur hibernation les derniers rescapés Straumli, les enfants du ciel. Ceux-ci, ayant grandi sous sa tutelle, sont devenus, avec leur science et leur technologie, l’enjeu majeur des querelles des Dards. Tandis que la Perversion fonce vers la planète à la vitesse de la lumière... Mais si la frontière de la Lenteur se déplace, elle peut fondre sur eux en quelques mois.
Est considéré comme faisant partie du même cycle que les deux précédents. Les personnages et les lieux n’ont pourtant rien à voir. Quatrième de couverture : Dans l’immensité de la Galaxie, l’étoile Marche-Arrêt est une énigme. Elle s’éteint pendant deux cent quinze ans puis se rallume pour trente-cinq ans. Son unique planète est habitée par des araignées intelligentes qui viennent d’inventer la radio. Leur signaux attirent deux expéditions interstellaires.
Celle des Queng Ho, un peuple marchand et itinérant qui parcourt l’espace en vendant et en achetant de l’information technologique.
Et celle des Émergents, issus d’une civilisation violente et sadique qui a fait de la lutte pour le pouvoir son mode de vie.
Quatrième de couverture : Au milieu du XXIe siècle, la cybersphère a envahi l’univers. Le virtuel a subverti le réel. La Singularité est proche, ce bouleversement de l’Histoire humaine, issu de la convergence entre informatique et nanotechnologie. Grâce à ses vêtinfs, ses lentilles de contact, chacun communique avec le monde entier, peut se déplacer sous forme d’avatar à l’autre bout du monde ou en recevoir informations et images.
Le meilleur des mondes, ou presque. Et un monde dangereux.
Robert Gu, le plus grand poète américain, a sombré quatre ans plus tôt dans la nuit de l’esprit. Grâce à un traitement miraculeux, il émerge de son Alzheimer. Et peut quitter la maison de retraite de Rainbows End. Mais il va lui falloir retourner à l’école, se familiariser avec ces machines à distiller de l’information dont il s’est toujours méfié. Et si possible retrouver son génie enfui.
Or lui, qui a toujours tant aimé les livres, découvre un horrible projet, le Bibliotome : tout numériser au prix de la destruction physique de l’imprimé.
Ce n’est qu’un des moindres dangers qui menacent le monde comme le savent trop bien Bob, son fils, colonel des marines, et sa belle-fille Alice, agent des services spéciaux qui a incarné trop de personnalités pour continuer à être elle-même.
Quatrième de couverture : Non, vraiment, la vie de Dixie Mae n’a pas toujours été rose… Mais grâce à LotsaTech, et au boulot qu’elle vient de décrocher au service clients de ce géant high-tech, les choses vont changer. Telle était du moins sa conviction jusqu’à ce que lui parvienne l’email d’un mystérieux expéditeur, message qui contient quantité de détails intimes liés à son enfance et connus d’elle seule… Dixie Mae, telle Alice, devra passer de l’autre côté du miroir et payer le prix de la vérité — exorbitant : celui de la nature ultime de la réalité au sein de la Silicon Valley…