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Alick Munro
Je n’ai rien trouvé d’autres — pour l’instant — que quelques traces d’œuvres signées de ce nom.
Il s’agirait peut-être de Alexander Richard B. Munro (1871
1871
-1935
1935
) d’après philsp.com. Et encore ! Je n’en suis pas certain.
Voici les titres d’œuvres signées de ce nom que j’ai pu identifié :
- Ian’s sacrifice (Harmsworth magazine — Vol. I - 1898 1898 )
- The Raven of Flamboro (Chamber’s Journal — 1899 1899 )
- The terror of the pond (1899 1899 )
- McNicol’s Wehr-Wolf, (The Ludgate — 1900 1900 )
- A Life : Price One Shilling, (The Royal Magazine — 1901 1901 )
- A Carnival Kiss, (The Tatler — 1902 1902 )
- A woman of wiles (1902 1902 — publié en feuilleton dans le supplément au Bairnsdale Advertiser fin 1901 1901 )
- The Courage of a Coward (The Windsor Magazine — 1902 1902 )
- The ‘Vigo’s’ Captains (The Windsor Magazine — 1903 1903 )
- The Cave-Dweller (Illustrée par Abbey Altson. The Windsor Magazine — 1903 1903 )
- The phantom fisherman (The Windsor Magazine — 1904)
- The Unknown Quantity (The Windsor Magazine — 1905 1905 )
Par hasard, je découvre une petite info sur une autre œuvre de cet écrivain.
A Woman of Wiles. Par Alick Munro. (Ward, Lock, and Co. 6s.) — Il n’est pas rare de reprocher à l’auteur de contes de rendre ses héros trop intelligents de façon surnaturelle. Un garçon qui a eu six mois d’entraînement militaire, mener une opération difficile avec l’habileté d’un Alexandre ou d’un Hannibal. M. Munro, d’autre part, rend son héros trop stupide de façon surnaturelle. La « femme aux ruses » était, il est vrai, extrêmement fascinante ; et un amant, ou quasi-amant — Herbert Delabere a vraiment donné son cœur à quelqu’un d’autre — peut revenir vers une telle charmeuse après avoir été trompé une fois ou plus d’une fois, mais il ne tirerait sûrement pas un trait sur une tentative de meurtre. Même un lapin ayant une fois échappé au fascinant serpent, ne se remet pas volontiers à sa portée. Et puis, il est extraordinairement communicatif sur son secret. En dehors de ces choses, A Woman of Wiles est une histoire rapide, pleine d’incidents, bien racontés et de couleurs vives. Une aussi bonne chose de son genre qu’on peut s’attendre à rencontrer. Mais quelle étrange fin ! Une fois, quand le trésor perdu a été retrouvé, le découvreur était heureux pour toujours, Maintenant, les choses précieuses sont jetées parce qu’elles ont de si sombres associations. Est-ce par une conscience plus aiguë, ou par l’art qu’est écrite une fin mélancolique ?