Ceci n’est pas une liste exhaustive de toutes les œuvres de Isaac AsimovIsaac Asimov. Même la liste des éditions françaises est très longue. Mais simplement une liste des œuvres que j’ai lues et conservées de ce grand écrivain.
Quatrième de couverture :
À sa disparition en 19921992, à l’âge de soixante-douze ans, Isaac AsimovIsaac Asimov laissait en héritage à la foule de ses admirateurs le compte rendu détaillé d’une existence bien remplie : la présente autobiographie.
L’auteur qui aura sans doute le plus marqué la science-fiction moderne, jusqu’à se confondre pratiquement avec elle, y retrace son enfance de jeune émigré russe à Brooklyn, les innombrables lectures qui devaient faire de lui une encyclopédie vivante, sa carrière orageuse de professeur de biochimie et, bien sûr, son itinéraire d’écrivain. Un ouvrage indispensable pour comprendre cinquante ans d’évolution d’un genre littéraire dont Asimov, par ses rencontres et son implication, fut un témoin privilégié.
Trous noirs
Titre original : Colapsing Universe : The story of black holes (19771977)
Civilisations extraterrestres
Titre original : Extraterrestial Civilizations (19791979)
Quatrième de couverture :
Sommes-nous seuls dans l’univers ? Les êtres humains sont-ils les seuls doués d’une esprit qui s’efforce de comprendre, d’interpréter et de communiquer ? Sont-ils les seuls inventeurs d’appareils qui soient des extensions de leurs sens, les seuls qui fouillent les profondeurs des galaxies ?
Bon nombre d’astronomes croient que « nous ne sommes pas les seuls êtres vivants intelligents », et Isaac AsimovIsaac Asimov partage aussi cet avis. Nous ne savons pas où ils se trouvent, ni comment ils vivent, ni à quoi ils ressemblent. Mais nous pouvons être sûrs qu’ils existent, actifs et intelligents, quelque part parmi les centaines de milliards d’étoiles et de planètes de l’univers connu. pouvons-nous les trouver ? « Devrions-nous » les chercher ? Est-ce sans danger pour nous ? Vont-ils éventuellement « nous » trouver ? Ou bien comme certains (mais pas Asimov) le croient, « nous ont-ils déjà trouvés ? »
Ces questions, auxquelles Isaac AsimovIsaac Asimov tente de répondre dans cet ouvrage fascinant, nous amènent à une nouvelle conscience de la situation de l’homme à l’ère intergalactique.
Car on ne peut plus maintenant douter de l’existence des civilisations extraterrestres.
La conquête du savoir
Titre original : Exploring the earth and the cosmos (19821982)
Quatrième de couverture :
En quelques milliers d’années, l’ascension irrésistible de l’homme s’est confondue avec l’expansion extraordinaire de son savoir. C’est cette aventure, l’aventure de la connaissance, qui est retracée par Isaac AsimovIsaac Asimov dans La Conquête du savoir, depuis les balbutiements des origines jusqu’aux sondes interplanétaires.
L’espace, le temps, la matière et l’énergie sont les quatre points cardinaux de ce prodigieux récit d’aventures, avec ses héros, ses coups de théâtre, ses tâtonnements, ses illuminations et ses fausses pistes. Grâce au talent d’écrivain et de pédagogue d’Isaac AsimovIsaac Asimov, nous comprenons comment, par étapes successives, l’homme en est arrivé à isoler l’ADN, à survoler Saturne, à déterminer l’âge de l’univers, à mesurer la vitesse de la lumière... Cette lecture historique de la science nous fait emprunter les chemins mêmes qui ont conduit l’homme à la conquête du savoir et nous fait progresser, en quelque Sorte, avec lui.
Ce « roman de la connaissance » est en même temps un outil de référence irremplaçable : le découpage thématique, un index de 1400 noms et concepts permettent au lecteur de vérifier instantanément un fait, une date, et de les replacer dans leur contexte.
Quatrième de couverture :
C’est à l’Université, dans le laboratoire de chimie, que la mort a frappé. S’agit-il d’un accident, d’un suicide ou d’un meurtre ?
Les trois hypothèses s’accordent avec la cause de la mort : substitution de cyanure de sodium à de l’acétate de sodium au cours de l’expérience qu’effectuait Ralph Neufeld, élève aussi peu prisé de ses camarades que de ses maîtres. La police penche pour le suicide, mais Brade, professeur adjoint de chimie, croit plutôt au meurtre.
Neufeld était son élève et c’est lui qui a découvert le cadavre ; c’est le choc alors éprouvé qui l’incite à s’informer en marge de l’enquête officielle. Il ira ainsi de choc en surprise et apprendra tout d’abord que le défunt le haïssait. Pourquoi ?
A chaque pas de sa brûlante enquête, Brade verra grandir cette angoissante question, cependant que ses problèmes personnels les plus intimes se trouveront de plus en plus influencés par le drame.
Quatrième de couverture :
Némésis, l’étoile du châtiment, se dirige inexorablement vers le soleil.
Mais les Terriens n’en savent rien, car l’astre mortel est caché par un nuage de poussière. Le danger n’est connu due de quelques savants postés sur un lointain satellite artificiel, mais certains d’entre eux, oubliant la solidarité des hommes, ne pensent qu’à fonder une société nouvelle sur Erythro, une planète du système de Némésis. Qui va sauver la Terre ? Marlène, la mal-aimée, qui s’est éprise d’une planète ? Tessa, la physicienne de génie qui cherche à percer les secrets de l’hyperespace ? Tanayama, le croisé de l’antiracisme ? Crile Fisher, l’agent secret qui franchit les années-lumière pour retrouver sa fille ? Ou l’étrange organisme qui s’est pris de passion pour les hommes ?
Quatrième de couverture :
En 2070, la Terre vit dans la prospérité et le bonheur grâce à la Pompe à Electrons, qui fournit une énergie illimitée et gratuite. Une découverte extraordinaire, à moins que...
A moins que cette invention miraculeuse ne constitue à plus ou moins longue échéance une menace imparable pour notre Univers ; un piège tendu par une civilisation parallèle pour annihiler notre réalité.
Seules quelques personnes ont pressenti la terrible vérité : un jeune physicien marginal, une Lunarite intuitionniste, un extraterrestre rebelle vivant sur une planète qui se meurt.
Mais qui les écoutera ? Qui les croira ? Contre la stupidité, les Dieux eux-mêmes luttent en vain.
• Depuis que les Technocrates de l’Éternité envoient leurs délégués dans l’avenir et dans le passé, ils croient que la Terre va enfin bien tourner.
• Mais ils ignorent qu’un jeune Éternel s’est épris d’une ravissante Temporelle et que l’amour peut saboter tous les principes de l’Éternité.
Avec cette extraordinaire aventure de l’homme dans le Temps et dans l’Éternité, Asimov nous prouve une nouvelle fois qu’il est bien le maître de la science-fiction.
La voie martienne
Titre original : The Martian Way and Other Stories (19551955)
Pour que tu t’y intéresses (19741974, That thou art mindful of him !)
L’homme bicentenaire (19761976, The bicentennial man)
Les cavernes d’acier (19531953, The caves of steel) Roman
Face aux feux du soleil (19561956, The naked sun) Roman
tome 2 : La Gloire de Trantor
Ce volume contient :
Les Robots de l’aube (19831983, The robots of dawn) Roman
Les Robots et l’Empire (19851985, Robots and empire)Roman
Les Courants de l’espace (19521952, The currents of space) Roman
Poussière d’étoiles (19511951, The stars like dust) Roman
Cailloux dans le ciel (19501950, Pebble in the sky) Roman
Cycle de Fondation
Prélude à Fondation
Titre original : Prelude to Foundation (19881988)
Quatrième de couverture :
Hari Seldon venait d’inventer la psychohistoire et il n’y voyait qu’une pure spéculation, sans applications pratiques.
Mais dès qu’il prit la parole à ce colloque, tout le monde comprit. La psychohistoire ne pouvait pas prédire l’avenir ? Les politiques s’en moquaient ! Ce qui comptait pour eux, c’est que les gens allaient y croire. Ensuite, les équations diraient ce qu’on leur ferait dire. Et si Seldon n’était pas d’accord tant pis pour lui ! Alors, le jeune chercheur s’enfuit en compagnie d’une belle historienne, Dors Venabili.
Il sillonna les dédales souterrains de la planète Trantor, capitales de l’Empire galactique, toujours traqué par ceux qui voulaient contrôler sa découverte. Et ce qu’il vit le stupéfia. La ville géante se désagrégeait. Partout s’étaient constituées des communautés isolées, farouchement attachées à leur autonomie. Un terrain idéal pour affiner son modèle et formuler l’avenir inquiétant qui se dessinait sous ses yeux.
Était-il trop tard pour éviter la catastrophe ? Y avait-il encore, pour Hari Seldon, quelque chose à faire ?
L’aube de Fondation
Titre original : Forward the Foundation (19931993)
Quatrième de couverture :
L’univers uni, c’est fini. L’Empire galactique se désagrège. Trente mille ans de chaos sont au programme. Et moi, j’en ai trop fait et je suis las. Oui, je m’appelle Hari Seldon et je vois que ce nom vous dit quelque chose. Tout ce que j’ai fait, c’est de poser les équations et d’agir. Les équations ne mentent pas. D’ailleurs vous le savez. Je ne voudrais pas jouer les prophètes, mais quand j’allume mon Premier Radiant, je lis l’avenir de l’humanité. Le chaos prévu sera réduit à un petit millier d’années. Je ne pourrai pas y veiller personnellement, mais tout est en place. Je me suis laissé accaparer par ma tâche et, à l’heure de partir, je regrette d’avoir négligé les gens qui m’accompagnaient. Mais ce n’est pas moi qui ai décidé. Les équations ne me laissaient aucune échappatoire. Je continue à venir ici dans mon bureau. Je crois parfois y entendre résonner des voix, celles de mes parents, de mes étudiants, de mes collègues… de Wanda… mais les couloirs sont vides. La Fondation est faite et le bâtiment de psychohistoire ne sert plus à rien. La suite se passe ailleurs.
Quatrième de couverture :
En ce début de treizième millénaire, l’Empire n’a jamais été aussi puissant, aussi étendu à travers toute la galaxie. C’est dans sa capitale, Trantor, que l’éminent savant Hari Seldon invente la psychohistoire, une science nouvelle permettant de prédire l’avenir. Grâce à elle, Seldon prévoit l’effondrement de l’Empire d’ici trois siècles, suivi d’une ère de ténèbres de trente mille ans. Réduire cette période à mille ans est peut-être possible, à condition de mener à terme son projet : la Fondation, chargée de rassembler toutes les connaissances humaines. Une entreprise visionnaire qui rencontre de nombreux et puissants détracteurs...
Ces trois premiers volumes ont fait l’objet d’un omnibus : Le déclin de Trantor
Fondation et Empire
Titre original : Foundation and Empire (19521952)
Quatrième de couverture :
Tandis que les crises qui secouent l’Empire redoublent de violence et annoncent son effondrement définitif, la Fondation créée par le psychohistorien Hari Seldon pour sauvegarder la civilisation devient de plus en plus puissante, suscitant naturellement convoitise et visées annexionnistes. En tout premier lieu, celles de Bel Riose, jeune général qui voit dans les secrets détenus par la Fondation le moyen de monter sur le trône. C’est alors qu’apparaît un mystérieux et invincible conquérant, surnommé le Mulet, que le plan de Seldon n’avait pas prévu...
Seconde Fondation
Titre original : Second Foundation (19531953)
Quatrième de couverture :
Conçue par le psychohistorien Hari Seldon pour restreindre l’ère de chaos résultant de la décadence de l’Empire galactique, la Fondation est désormais aux mains du Mulet, un mutant imprévisible capable de manipuler les esprits et d’imposer sa volonté à quiconque. Avec ses pouvoirs et les immenses ressources que lui procure la Fondation, il s’est donné pour objectif d’étendre sa domination aux ultimes vestiges de l’Empire défunt. Mais déjà une nouvelle légende prend forme : il existerait une Seconde Fondation, consacrée aux sciences mentales, œuvrant de façon occulte pour garantir l’accomplissement des desseins du légendaire Hari Seldon...
Fondation foudroyée
Titre original : Foundation’s edge (19821982)
Quatrième de couverture :
Sachant l’Empire Galactique sur le point de s’effondrer, le psycho-historien Hari Seldon a créé deux Fondations, l’une officielle, l’autre secrète, qui manipulent l’évolution de l’Humanité.
En 498 après leur établissement, la foudre, tout à coup, menace. Quelqu’un fausse les cartes du jeu. Est-ce la Seconde Fondation, que la première croyait avoir éliminée ? Est-ce une troisième force, qui œuvrerait dans l’ombre et dont nul ne saurait rien ? Commence alors une course-poursuite au terme de laquelle se cache une surprise de taille, une surprise qui a pour nom les Robots...
Car Isaac AsimovIsaac Asimov, en renouant le fil de son récit avec autant de fraîcheur et de verve que s’il l’avait abandonné hier, y introduit les thèmes majeurs de ses œuvres ultérieures pour tisser une fresque d’une ampleur incomparable dans le domaine de la Science-fiction.
Terre et Fondation
Titre original : Foundation and Earth (19861986)
Quatrième de couverture :
Mission surhumaine pour Golan Trevize : choisir le meilleur avenir pour l’humanité.
Un avenir qui ne recréera pas les erreurs de l’Empire galactique, entre le matérialisme de la Première Fondation et le mentalisme de la Seconde.
Un avenir qui a pour modèle Gaïa, la planète pensante, et pour nom : Galaxia.
Trevize a choisi mais il voudrait savoir pourquoi. Et la réponse à ses interrogations se trouve sur la Terre. Mais où la trouver, cette planète des origines, mystérieusement disparue de toutes les archives galactiques ? Trevize et ses deux compagnons,
l’historien Pelorat et Joie, la belle Gaïenne, deviennent, bien malgré eux, trois personnages en quête de Terre...
Une quête qui va les mener de planète en planète jusqu’à ce but mythique, jusqu’à la révélation finale, qui leur fera découvrir que l’aventure ne fait que commencer.
Les quatre derniers romans de Fondation ont été publiés en un onmibus : Vers un nouvel empire
Le Voyage Fantastique
Titre original : The fantastic voyage (19661966)
Novélisation du film Fantastic Voyage de Richard Fleischer d’après un scénario de Harry Kleiner & David Duncan.
Quatrième de couverture :
Le plus extraordinaire voyage jamais réalisé par des êtres humains : un sous-marin réduit aux dimensions d’un dé à coudre avec ses passagers réduits dans la même proportion, voyagent à travers les veines et les artères d’un être humain.
C’est la première expédition de ce genre et c’est une course contre la montre : il s’agit de sauver la vie d’un malade dont peut dépendre la paix du monde elle-même.
J’ai également lu Azazel, recueil de nouvelles qui se veulent drôles. Je l’ai tellement peu apprécié que je l’ai revendu. Asimov est sensé nous relater les histoires que lui raconte un pique-assiette en échange d’un bon repas. Cet homme a la capacité d’appeler à l’aide un démon, Azazel, qui exécute au pied de la lettre la demande qui lui est faite. L’idée est attrayante, mais le résultat ne m’a pas paru à la hauteur.
Si j’ai bonne souvenance, j’ai également lu quelques autres recueil de nouvelles qui n’ont jamais été en ma possession. Je les rajouterais ici dès que ce sera le cas.
Citons également ici, le seul roman paru en français de sa second épouse Janet O. Jeppson : La Seconde expérience qui vaut bien que je le relise pour le chroniquer ici. Quatrième de couverture :
Créatures protoplasmiques originaires d’un univers lointain, les Roïss ont subi au fil des siècles de nombreuses mutations qui en ont fait des entités immortelles, aux facultés psi extraordinaires et possédant le contrôle de la matière. Pour assurer leur immortalité, ils doivent mener à bien la Seconde Expérience, avec tous les risques qu’elle comporte. En dépit de leur immense intelligence, sans doute n’y parviendraient-ils pas sans le secours de Tec, leur serviteur-robot, que des Terriens, nés à 70 millions d’années de distance, délivreront du sommeil millénaire auquel l’a condamné le monstrueux Wirzan.