Accueil > Science-fiction, Fantasy, Fantastique > Anthologies > Dimension Arlton Eadie
Dimension Arlton Eadie
mercredi 2 juillet 2025, par
Ces 3 volumes incluent presque tous les textes publiés dans Weird Tales. Mais l’œuvre de Arlton Eadie
Arlton Eadie
Nom-de-plume de l’écrivain britannique Leopold Eady (1886-1935) spécialisé dans le roman policier et le fantastique.
Ses œuvres sont quasi introuvables sur internet, hormis ses publications dans Weird Tales.
— nom-de-plume de Leopold Eady (1886
1886
-1935
1935
) — est bien plus étendue. Toutefois, il semble que le reste soit à classer polar/frileur.
Tome 1
|
Tome 2
|
Tome 3
|
La majorité est à connotation fantastique, un petit nombre SF et quelques-unes sont plus des aventures africaines ou indiennes. Nous avons écarté ces dernières.
- The Siren of the Snakes (1927 1927 ) — aventure indienne
- Le vampire blanc — The White Vampire (1928 1928 ) — aventure africaine
- Le lien invisible — The Invisible Bond (1930 1930 ) — aventure africaine
- La maison du crâne — The House of the Skull (1930 1930 ) — aventure indienne
Pour le plaisir des yeux, quelques couvertures d’une partie des polars.
Crimson Query
Présentation éditeur :
L’inspecteur Norton s’est trouvé confronté à ce problème dès son arrivée à Southampton, et la piste des sinistres indices rouges l’a conduit dans la solitude d’Abbotsmoor. La façon dont il s’acquitte de sa tâche et fait tomber le masque Le Masque de l’astucieux criminel constitue une histoire captivante qui se termine en apothéose haletante et stupéfiante.
En deux parties dans Hutchinson’s Adventure & mystery (avril et mai 1929 1929 )
Puis en un volume :
Murder manor
The Murillo Mystery (Picadilly novels N°135, Fiction House, Londres)
quatrième de couverture :
Ses œuvres sont quasi introuvables sur internet, hormis ses publications dans Weird Tales. s’ouvre sur la vente aux enchères du « Saint cramoisi », un chef-d’œuvre bien connu du peintre espagnol Murillo.
Sir John Repington, millionnaire, réussit à surenchérir sur tous les autres acheteurs potentiels, y compris deux mystérieux émissaires espagnols. Thorbeck Towers devient la nouvelle demeure du « Saint cramoisi ».
Le fils de Sir John, Paul, lutte à Chelsea pour se faire un nom en tant qu’artiste. Il est amoureux d’une autre artiste, Ivy Dale. Sir John tente cependant de persuader Paul de quitter la vie de bohème et de revenir à Thorbeck pour participer à sa vie sociale.
A l’instigation d’un certain marchand d’art, Izzy Jacobstein, Paul retourne aux Thorbeck pour peindre une copie du tableau inestimable de son père. Sir John reçoit la visite d’un Espagnol qui prétend que le « Saint cramoisi » a une longue histoire qui remonte à 1625 et qu’il contient un indice secret sur la cachette d’un trésor considérable.
Izzy Jacobstein est admis à Thorbeck Towers sous un faux prétexte et Ivy Dale débarque à l’improviste alors qu’il s’apprête à échanger sa « copie » contre le vrai « Saint cramoisi ».
Le tableau est mystérieusement endommagé et les soupçons se portent sur Ivy et Paul. La police intervient et l’appartement de Jacobstein est fouillé. Cette dernière est à l’origine d’un éloignement entre Ivy et Paul, et ce dernier retourne à nouveau chez lui, à Thorbeck. Une série d’incidents passionnants s’ensuit, et l’histoire se termine par une conclusion sensationnelle, faite de romance et de mystère.
[1] En 2010, John Pelan a réédité ce roman. Dans sa préface, on peut lire :
Le livre que vous tenez entre vos mains n’est pas exactement celui que j’ai vilipendé plus haut. En fait, c’est un cheval (ou un centaure) d’une toute autre couleur. Il y a quelques années, j’ai appris que le roman d’Eadie, The Carnival of Death, avait été publié sous forme de feuilleton dans Weird Tales. Des recherches ultérieures ont révélé que Skeffington’s avait publié une version en livre de The Trail of the Cloven Hoof en 1935 ; et c’est ainsi qu’a commencé une dizaine d’années d’interrogations... Était-il possible qu’un auteur au sommet de sa gloire ait produit une œuvre aussi maladroite que celle que j’avais lue dans Weird Tales ? Ou bien était-il plus probable que la main éditoriale parfois lourde de Farnsworth Wright ait fait un travail de hachette sur le roman d’Eadie ? Après des années de recherche, j’ai enfin eu ma réponse l’année dernière, lorsqu’un libraire australien m’a déniché un exemplaire du livre.
Pelan a-t-il confondu les deux romans ? Après vérification, il s’avère qu’il y a peu ou pas de différence entre le texte publié dans Weird Tales et celui édité par Dancing Tuatara Press à l’initiative de John Pelan. Ce dernier étant sensé reprendre le texte de Skeffington’s. Ceci tendrait à prouver qu’il a confondu les deux œuvres. Par ailleurs, je n’ai trouvé aucune trace d’une édition en volume de The Carnival of Death qui permettrait de confirmer un travail destructeur de la part de Farnsworth Wright.