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Cyril-Berger : L’expérience du Dr Lorde
mercredi 14 juillet 2021, par
Auteur : Cyril-Berger
Titre français : L’expérience du Dr Lorde
Éditeur : Première publication en épisodes dans L’humanité à partir du 12 décembre 1913 au 11 mars 1914
1914
. Puis aux éditions Crès en 1922
1922
.
Année de parution : 1914
1914
Quatrième de couverture :
Derval craint que celui-ci ne dévoile le traquenard dans lequel il le fit tomber pendant leurs années d’étude en Médecine. Aussi fait-il tout son possible pour, une fois de plus, le discréditer auprès de ses pairs.
Mon avis : J’ai découvert il y a quelques temps Victor Cyril
Victor Cyril
Victor Cyril (1872-1925) ne semble pas avoir été très prolifique sous ce nom puisque la BNF ne lui attribue que trois références sous ce nom.
Mais Victor Édouard Désiré Berger (Journaliste à « Clarté » -1919) fut l’auteur, avec son frère Eugène Berger, de romans publiés sous le pseudonyme collectif de Cyril-Berger.
au détour des Contes des mille et un matins. Cherchant quelques informations sur cet écrivain français tombé dans l’oubli, j’ai découvert les quelques romans écrits en collaboration avec son frère sous le pseudo de Cyril-Berger. L’expérience du Dr Lorde a tout de suite attiré mon attention. Un roman classé Science-Fiction qui a sans doute des points communs avec des romans tels que Le Dr Lerne, sous-dieu pour ne citer que celui-là. Une petite recherche et je découvre qu’il est assez facile à trouver d’occasion via internet, mais tout de suite à 15 € et plus. Mais j’ai aussi découvert qu’il avait été d’abord publié en épisode dans le quotidien L’humanité. Et hop ! Un petit tour sur Gallica.
Je me voyais déjà vous le proposer en livre numérique gratuit... mais la qualité des scans et les trous dans la collection de la BNF en ont décidé autrement.
Quoi qu’il en soit, voilà un roman qui mérite d’être lu. Je vais donc me le procurer. Du moins l’ajouter à la déjà trop longue liste des livres qu’il me reste à lire. Car les parties que j’ai pu en lire grâce à Gallica m’ont convaincu. Et je vous enjoins — non. Je vous invite. Enjoindre est un verbe un peu trop fort. — d’en faire autant... Le lire, pas le mettre sur une liste :-)