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Jean Ray : Le cap d’argent
jeudi 20 octobre 2022, par
Auteur Jean Ray
Jean Ray
Raymond Marie de Kremer, principalement connu par ces deux pseudonymes, est un auteur très prolifique. Il aurait rédigeait près de 15000 textes sous une trentaine de pseudo. Aussi cette page n’a aucune prétention à l’exhaustivité. Simplement, permettre de trouver facilement dans quel recueil l’une ou l’autre de ces nouvelles a été publiée en français sous les noms de John Flanders ou de Jean Ray.
/ John Flanders
John Flanders
John Flanders est un des pseudonyme utilisé par Jean Raymond de Kremer, plus connu sous le nom de Jean Ray.
Le nom de John Flanders est plus souvent associé aux œuvres jeunesse.
Titre français : Le Cap d’argent
Année de publication : 2021 2021
Titre original : De zilveren kaap (1946)
Édition bilingue
Traduction en français : André Verbrugghen
15 x 217 mm, 318 p.- 18,00
Fac-similé de l’édition originale
Tous les titres ont été publiés à quelques milliers d’exemplaires. Cette collection fait partie des incontournables pour les amoureux des romans et nouvelles dans les domaines du Policier, du Thriller, de la SF et du Fantastique. Malheureusement le prix de vente de chaque volume ne pouvait qu’annoncer la mort de cet éditeur. Je me rappelle encore du prix du premier volume de Fredric Brown qui m’a fait découvrir l’auteur et l’éditeur : Homicide mode d’emploi. 38 francs pour un volume de 174 pages, en 1986, c’était un énorme trou dans mon budget d’étudiant. en 1984 1984 sous le titre « La malédiction de Machrood ».
Mon avis : J’ai acheté ce livre et entrepris sa lecture en connaissance de cause. Il s’agit de la version non expurgée d’une de mes précédentes lectures de Jean Ray
Jean Ray
Raymond Marie de Kremer, principalement connu par ces deux pseudonymes, est un auteur très prolifique. Il aurait rédigeait près de 15000 textes sous une trentaine de pseudo. Aussi cette page n’a aucune prétention à l’exhaustivité. Simplement, permettre de trouver facilement dans quel recueil l’une ou l’autre de ces nouvelles a été publiée en français sous les noms de John Flanders ou de Jean Ray.
. Je veux bien sûr parler de La malédiction de Machrood, publié en 1984
1984
par les éditions NéO
NéO
Les éditions Néo ont publié leur premier titre en 1979 et le dernier 1990.
Tous les titres ont été publiés à quelques milliers d’exemplaires. Cette collection fait partie des incontournables pour les amoureux des romans et nouvelles dans les domaines du Policier, du Thriller, de la SF et du Fantastique. Malheureusement le prix de vente de chaque volume ne pouvait qu’annoncer la mort de cet éditeur. Je me rappelle encore du prix du premier volume de Fredric Brown qui m’a fait découvrir l’auteur et l’éditeur : Homicide mode d’emploi. 38 francs pour un volume de 174 pages, en 1986, c’était un énorme trou dans mon budget d’étudiant.
. Mais l’éditeur savait-il qu’il ne publiait pas l’œuvre originale parue en flamand en 1946, mais une pâle copie. J’ai failli écrire édulcorée. Mais ce serait faire une insulte aux édulcorants. Je me rappelle d’une forte nouvelle assez insipide. Mais là changement complet de point de vue.
Je serais plus catégorique que l’auteur du texte de présentation de l’Amicale Jean Ray Jean Ray Raymond Marie de Kremer, principalement connu par ces deux pseudonymes, est un auteur très prolifique. Il aurait rédigeait près de 15000 textes sous une trentaine de pseudo. Aussi cette page n’a aucune prétention à l’exhaustivité. Simplement, permettre de trouver facilement dans quel recueil l’une ou l’autre de ces nouvelles a été publiée en français sous les noms de John Flanders ou de Jean Ray. . L’usurier juif est une caricature. Même de Funès dans l’Avare est plus crédible. Et le racisme ? Bien sûr, certains lecteurs ne pourront s’empêcher d’accuser Jean Ray Jean Ray Raymond Marie de Kremer, principalement connu par ces deux pseudonymes, est un auteur très prolifique. Il aurait rédigeait près de 15000 textes sous une trentaine de pseudo. Aussi cette page n’a aucune prétention à l’exhaustivité. Simplement, permettre de trouver facilement dans quel recueil l’une ou l’autre de ces nouvelles a été publiée en français sous les noms de John Flanders ou de Jean Ray. d’antisémitisme mais, pour moi, ces expressions ne sont que le reflet du caractère excessif de ce personnage exécrable, avare au point d’en être bête et sans scrupule. Ces insultes, proférées par l’un des gentils de l’histoire ne sont là que pour renforcer votre haine de ce sinistre individu. Quoiqu’il en soit, il est vrai que Jean Ray Jean Ray Raymond Marie de Kremer, principalement connu par ces deux pseudonymes, est un auteur très prolifique. Il aurait rédigeait près de 15000 textes sous une trentaine de pseudo. Aussi cette page n’a aucune prétention à l’exhaustivité. Simplement, permettre de trouver facilement dans quel recueil l’une ou l’autre de ces nouvelles a été publiée en français sous les noms de John Flanders ou de Jean Ray. aurait tout aussi bien pu le nommer usurier plutôt que juif. ça aurait été tout aussi parlant. Soit. Ça n’excuse pas pour autant les éditeurs qui se permettent de supprimer de longs passages. Car j’ai découvert le premier chapitre. Il avait carrément disparu de La malédiction de Machrood.
En bref : Si vous faites partie de cette mouvance qui renie tout ce qui pourrait ne pas être dit de peur de choquer, qui voient le mal partout, alors contentez-vous de la version allégée. Mais si vous voulez vraiment lire un court roman de Jean Ray Jean Ray Raymond Marie de Kremer, principalement connu par ces deux pseudonymes, est un auteur très prolifique. Il aurait rédigeait près de 15000 textes sous une trentaine de pseudo. Aussi cette page n’a aucune prétention à l’exhaustivité. Simplement, permettre de trouver facilement dans quel recueil l’une ou l’autre de ces nouvelles a été publiée en français sous les noms de John Flanders ou de Jean Ray. , dans lequel les personnages ont un tant soit peu de profondeur, de caractère, alors il vous faut en passer par là et lire Le Cap d’Argent plutôt que La malédiction de Machrood. Et gardez bien à l’esprit que l’histoire se déroule au XIXe siècle et qu’il est du coup logique de mettre dans la bouche des protagonistes des expressions courantes à l’époque.
Et puis ça peut être l’occasion de vous mettre au flamand, puisque vous aurez entre les mains une édition bilingue.