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Charlotte Armstrong : L’insoupçonnable Grandison

mercredi 5 avril 2023, par Denis Blaizot

Auteur : Charlotte Armstrong

Titre français : L’insoupçonnable Grandison

Titre original : The unsuspected (1946)

Éditeur : Ditis (Coll. La chouette(Détective*club Détective*Club collection de romans policiers créée à la fin des années 1940. ) n°76)

Année de parution : 1958 1958

ISBN : n/a

Quatrième de couverture :

Il a assassiné sa secrétaire, empoisonné sa nièce, dilapidé les fortunes qui lui étaient confiées. Il a préparé d’autres crimes qu’il s’apprête à accomplir avec la même astuce diabolique.

Le meurtrier a-t-il la police à ses trousses as le moins du inonde, Respectable et respecté Mr. Grandison jouit de l’estime de ses concitoyens et de l’affection de ses amis.

Contre ce Monstre, deux jeunes filles vont lutter,contre cette force la faiblesse va s’élever.

Éclairées enfin sur sa véritable nature, elles vont livrer une lutte d’autant plus acharnée que leur sort dépend de son issue.

Combat terrible, puisqu’elles doivent triompher à la fois de l’incrédulité générale et du machiavélisme de Grandison.

Mon avis : Quand j’ai trouvé ce livre chez mon bouquiniste, je l’ai pris parce que c’était un vieil exemplaire de la collection Détective*club Détective*Club collection de romans policiers créée à la fin des années 1940. (dite « La chouette »). Mais le titre a retenu mon attention. Il semblait me dire quelque chose. Et pourtant ! Si ce roman a bien était adapté au cinéma, c’est sous un titre totalement différent : Le crime était presque parfait. Mais il ne s’agit pas du film d’Alfred Hitchcock. D’ailleurs le film de Michael Curtiz adapté du roman est sorti en salles aux États-Unis sous le même titre que le roman. À savoir « The unsuspected ».

Revenons au roman.

Voilà une histoire bien compliquée. Mais qui garde toute sa crédibilité. Le grand méchant est un manipulateur. Et son... ou plut ses crimes auraient pu passer inaperçus si deux membres de la famille de la première victime ne s’étaient pris d’idée de prouver la culpabilité de Grandison. Il est à noter que, s’ils ne s’en étaient pas mêlés, il n’y aurait probablement pas eu de deuxième victime... ni d’autres tentatives de meurtre. La fin est peut-être un tantinet trop capillotractée à mon goût. Mais après cette découverte, je lirai volontiers d’autres roman de Charlotte Armstrong.

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