Howard Fast : Alice

Auteur : Howard Fast

Titre français : Alice

Titre original : Alice (1963 1963 )

Éditeur : NéO NéO Les éditions Néo ont publié leur premier titre en 1979 et le dernier 1990.
Tous les titres ont été publiés à quelques milliers d’exemplaires. Cette collection fait partie des incontournables pour les amoureux des romans et nouvelles dans les domaines du Policier, du Thriller, de la SF et du Fantastique. Malheureusement le prix de vente de chaque volume ne pouvait qu’annoncer la mort de cet éditeur. Je me rappelle encore du prix du premier volume de Fredric Brown qui m’a fait découvrir l’auteur et l’éditeur : Homicide mode d’emploi. 38 francs pour un volume de 174 pages, en 1986, c’était un énorme trou dans mon budget d’étudiant. (Coll. coll. Le Miroir obscur n° 113 )

Année de parution : 1985 1985

188 pages.

ISBN : 2-7304-0345-5

Quatrième de couverture :

Mon avis : Howard Fast a utilisé plusieurs nom de plume dont E. V. Cunningham. C’est sous cette signature qu’est paru ce roman en 1963 1963 /1964 1964 . Mais, en 1985 1985 les défuntes éditions NéO NéO Les éditions Néo ont publié leur premier titre en 1979 et le dernier 1990.
Tous les titres ont été publiés à quelques milliers d’exemplaires. Cette collection fait partie des incontournables pour les amoureux des romans et nouvelles dans les domaines du Policier, du Thriller, de la SF et du Fantastique. Malheureusement le prix de vente de chaque volume ne pouvait qu’annoncer la mort de cet éditeur. Je me rappelle encore du prix du premier volume de Fredric Brown qui m’a fait découvrir l’auteur et l’éditeur : Homicide mode d’emploi. 38 francs pour un volume de 174 pages, en 1986, c’était un énorme trou dans mon budget d’étudiant. l’ont rédité avec le véritable de nom de l’auteur : Howard Fast.

Si ce court roman a été publié en 1963 1963 , l’auteur situe assez clairement son histoire à la fin des années 50. Mais cela n’a aucun impact sur le récit. Mais peut-on en dire plus sans le déflorer ? Je ne pense pas. Peut-être simplement dire que les personnages sont un peu trop caricaturaux. Mais c’est aussi ça qui fait le charme de ce genre de lecture. enfin... Pour moi.

Un héros/narrateur horripilant de médiocrité, mais qui fait quand même ce qu’il faut au moment ou le faut. Une épouse, Alice, très cruche comme sont souvent décrites les américaines des années 50, mais qui se révèle plus forte que ce que son comportement du début laissait présager. Un gros méchant, une femme fatale, deux dangereux barjots qui ne peuvent que finir par s’entre-tuer, etc. Bref, tout le bestiaire du roman noir, du frileur, des années 50/60.

En bref : Deuxième lecture d’Howard Fast (voir ma critique de Howard Fast : Au seuil du futur) et je ne suis toujours pas convaincu par l’auteur. J’en lirai peut-être d’autre à l’occasion si j’en trouve à petit prix chez des bouquinistes ou dans des boites à lire.