Accueil > Bande dessinée > Far Albion, tome 1 : L’éveil

Far Albion, tome 1 : L’éveil

vendredi 1er novembre 2013, par Denis Blaizot

Editions Soleil (2012 2012 )
Scénario : Jean-Luc Sala
Dessin : Emmanuel Nhieu
Couleurs : Diane Brants

Quatrième de couverture :
La terre n’est plus.
L’homme a colonisé l’espace. Le secteur britannique se nomme Far Albion.

Mais certaines choses sont éternelles !

Synopsis :
La Terre n’est plus. L’Humanité a colonisé l’espace et l’ordre mondial a explosé. Les états, alliés ou non, se sont réorganisés et répartis sur différents secteurs.

Le secteur britannique, devenu Far Albion, est sous le protectorat militaire de l’Impérium (anciennement les Etats-Unis). Sur le déclin, l’Impérium abandonne Far Albion qui se retrouve, désormais, sous la seule protection de ses propres Space Marines. Elle se retranche derrière son unique ligne de défense ... le Mur.

Un vaisseau albian disparaît subitement. Une chose est sûre ... un ennemi se prépare à fondre sur le secteur de Far Albion. Des unités militaires et des améliorats, humains aux capacités psychiques étonnantes, sont envoyés pour enquêter sur les lieux. Désormais seul pour se défendre, Far Albion va devoir affronter une entité extérieure, un ennemi inconnu de tous ...

Le premier contact depuis des millénaires entre l’humanité et une entité extérieure va se produire ...

Mon avis : Pour cette BD, avis mitigé. Pourquoi mitigé ? Principalement à cause du graphisme. Le dessinateur semble hésiter entre un graphisme à l’européenne ou façon comics. C’est agaçant. Surtout quand, comme moi, on déteste ça. Avec une mise en page à l’avenant : amalgame de vignettes de toutes tailles avec des dessins hors cadres en arrière plan. De plus, les dessins des personnes sont irréguliers au point qu’on ne les trouve ressemblants. Par contre les couleurs sont très agréable et à propos. Côté scénario, le ton est donné avec la quatrième de couverture... Surtout la dernière ligne. Hé oui ! Certaines choses ont la vie dure ! Le mythe du roi Arthur - d’où l’ambiance britannique - mais aussi les clichés. Entre autre la brute épaisse qui ne peut pas s’empêcher de chercher des noises au héros en devenir.

Au final, je ne suis pas emballé par cette BD mais j’ai envie de connaître la suite.

Retrouvez la fiche du livre et d’autres chroniques sur Livraddict


Retrouvez la fiche du livre et d’autres chroniques sur Babelio