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William Hope Hodgson : Men of the Deep Waters
jeudi 23 décembre 2021, par
Auteur : William Hope Hodgson
William Hope Hodgson
William Hope Hodgson (1877 - 1918) fut un des maîtres du fantastique. Il a, parait-il influencé H.P. Lovecraft et Jean Ray, pour ne citer que les deux plus connus.
Titre original : Men of the Deep Waters
Année de parution : 1914
1914
(Eveleigh Nash)
Année de première réédition : 1921
1921
(Holden & Hardingham)
Sommaire :
- The Song of the Great Bull Whale (1912 1912 ) poème
- On the Bridge (1912 1912 ) — Sur la passerelle
- The Sea Horses (1913 1913 ) — Les hippocampes
- The Derelict (1912 1912 ) — L’épave
- My House Shall Be Called the House of Prayer (1911 1911 )
- From the Tideless Sea (1914 1914 ) — De la mer immobile
- The Captain of the Onion Boat (1910 1910 ) — Le Capitaine du Onion Boat
- The Voice in the Night (1907 1907 ) — La Voix dans la nuit
- Through the Vortex of a Cyclone (Cornhill — 1907 1907 ) récit
- The Mystery of the Derelict (1907 1907 ) — Le Mystère de l’épave
- The « Shamraken » Homeward Bounder (Putnam’s — avril 1908 1908 ) — Le Voyage de retour du Shamraken
- Grey Seas Are Dreaming of My Death (1912 1912 ) poème
Mon avis : C’est avec plaisir que j’ai découvert ce recueil de nouvelles de William Hope Hodgson William Hope Hodgson William Hope Hodgson (1877 - 1918) fut un des maîtres du fantastique. Il a, parait-il influencé H.P. Lovecraft et Jean Ray, pour ne citer que les deux plus connus. . Mais pourquoi ne l’ai-je téléchargé qu’hier ? Mystère. C’est d’autant plus surprenant que j’avais repéré et téléchargé une copie de sa couverture de 1921 1921 depuis belle lurette.
En l’explorant, j’ai bien sûr constaté que toutes les nouvelles avaient été traduites en français à l’exception de My House Shall Be Called the House of Prayer qui ne relève pas de la littérature fantastique. Absents des traductions françaises les deux poèmes ouvrent et clôturent ce volume. Absent également le récit intitulé Through the Vortex of a Cyclone.
Qu’à cela ne tienne ! Me dis-je. Je vais les traduire. Mais à ma grande surprise, je n’ai trouvé aucun volume réellement complet à consulter ou téléchargé en ligne. toutes les copies que j’ai pu consulté ont le même défaut : le poème The Song of the Great Bull Whale est amputé dans sa quasi intégralité. Certains éditeurs d’ebooks allant jusqu’à amalgamer la préface (voir ci-dessous) et la dernière page du poème.
Bref. ça a été l’occasion de relire toutes ces nouvelles. Mais aussi, avec My House Shall Be Called the House of Prayer, de découvrir une autre facette de cet écrivain incontournable.