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Paul Combes : Les mines d’or du Bas-Meudon
dimanche 3 novembre 2013, par
Ce court roman a été initialement publiée en seize parties dans les numéros 533 à 548 de La Science Illustrée
La Science Illustrée
La science illustrée est un journal hebdomadaire de vulgarisation scientifique créé en octobre 1875. Son premier numéro porte porte la date du 18 Octobre 1875. Les principaux rédacteurs sont Adolphe Bitard, Louis Figuier et Élysée Reclus pour la première année mais ils cèdent la place à de nouveaux noms dès le début de la seconde année. Cette première version a duré au moins jusqu’en 1877.
Le titre fût repris par Adolphe Bitard en décembre 1887 peu de temps avant sa mort et Louis Figuier prend sa relève dès le mois de mars 1888.
Largement illustré, il contient dès le premier numéro de janvier 1888 des nouvelles et romans à épisode. Les romans seront signés entre-autre par Louis Boussenard, Albert Robida et Jules Verne. On y retrouvera également les signatures de rédacteurs des revues La Nature et la Revue Scientifique.
À partir du n°340 ( premier numéro du second semestre 1894) la date disparaît de la première page du cahier hebdomadaire, mais reste inscrite sur la couverture.
La première page du fascicule n°901(4 mars 1905) porte en regard de la date les mentions S.I. N°901 et S.A.N. N°175. S.A.N. est l’abréviation de Sciences, Arts, Nature, créée en novembre 1901. Doit-on comprendre que ce fascicule était vendu sous deux titres ?
Je n’ai pour l’instant aucune information sur le devenir de cette publication au-delà de l’année 1905.
(premier semestre 1898
1898
, volume XXI de la revue) sous le pseudonyme de C. Paulon. Il fut ensuite publié à la Librairie d’Éducation Nationale sous la signature de Paul Combes (1903
1903
)
Disponible aux formats :
Mon avis : Voilà un court roman d’aventure bien dynamique et, du coup, des plus agréables à lire. De quoi s’agit-il ? D’un roman d’aventure croisé avec une fable moderne. Un commerçant cupide est prêt à tout, ou peu s’en faut, pour accumuler encore plus de richesses ; jusqu’à amener au bord de la ruine un petit rentier de sa commune. Mais c’est sans compter avec l’arrivée d’un géologue et aventurier qui décide de lui venir en aide en montant un « bateau » monstrueux à propose de terrains aurifères en plein région parisienne. Le commerçant, spéculateur mal conseillé, va s’enhardir pour tenter de se les approprier. Il ne découvrira la supercherie qu’acculé à la banqueroute.
Je vous le conseille vivement.
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