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Carter Brown : Dollars à vau-l’eau

mercredi 8 mars 2023, par Denis Blaizot

Auteur : Carter Brown

Titre français : Dollars à vau-l’eau

Titre original : The Hong Kong Caper (1962 1962 )

Éditeur : Gallimard (Coll. Série Noire Série Noire La collection Série Noire A été crée en 1945 avec un véritable démarrage en 1948. Depuis tous les grands noms du roman policier français et étranger y sont publiés. Limitée pendant de nombreuses années au format poche et à 250 pages, elle a longtemps accueilli des romans raccourcis pour l’occasion. Cette contrainte a été abandonnée il y a maintenant quelques années. )

Année de parution : 1963 1963

ISBN : n/a

Quatrième de couverture :

Moi, ce qui me plaît dans les combines de trésors cachés, c’est qu’on ne lésine jamais. Il s’agit toujours de retrouver une somme fabuleuse comme, par exemple, un million de dollars qui se trouveraient dans la baie de Kwan-Po. Seulement il y a un os : c’est derrière le Rideau de Bambou.
Pour s’embarquer dans une histoire pareille, il faut être dingue... ou ensorcelé par Natalie, la plus troublante des mille et une merveilles de Hong Kong.

Mon avis : Vu le nombre de romans signés Carter Brown publiés dans la collection Série Noire Série Noire La collection Série Noire A été crée en 1945 avec un véritable démarrage en 1948. Depuis tous les grands noms du roman policier français et étranger y sont publiés. Limitée pendant de nombreuses années au format poche et à 250 pages, elle a longtemps accueilli des romans raccourcis pour l’occasion. Cette contrainte a été abandonnée il y a maintenant quelques années. , on peut dire que c’est un auteur qui ne m’est pas inconnu. Pour autant, Dollars à vau-l’eau est le premier titre que je lis de cet écrivain prolifique.

Ce n’est pas un polar. Le seul policier dont il est question ne fait que de la figuration. Mais des morts ! Ça oui, il y en a !

Agréable à lire, d’une écriture moderne malgré ses 60 printemps. Juste un reproche que je fais à la traduction. L’histoire étant racontée à la première personne du singulier et au présent, on a le droit à longueur de temps à « fais-je » dans les dialogues. Allez savoir pourquoi, ça m’horripile énormément. Bon. Je comprends bien le souhait de ne pas toujours écrire « dis-je », mais quand même !

En bref : J’ai passé un bon moment lecture avec ce roman sans prétention et je relirai très certainement des romans de cet écrivain si l’occasion s’en présente.

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