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Jean Bouvier : La vampire
samedi 1er mai 2021, par
J’ai découvert l’œuvre de Jean Bouvier
Jean Bouvier
Jean Bouvier, né le 24 octobre 1869 à Plœuc-sur-Lié (Côtes-du-Nord) et mort le 2 mars 1935 à Paris 14e, est un écrivain de langue française, auteur de romans populaires.
Il a été conseiller de préfecture de l’Orne de 1896 à 1908, et vice-président de ce conseil.
il a publié les romans à succès, « Le Droit de Vie », « Sécularisée », « Deux Rosses », « Les Abandonnés » et des nouvelles dans l’« Illustration », le « Monde Moderne », le « Petit Parisien », la « Vie mystérieuse ».
par le plus grand des hasards.
Cherchant des informations sur Nonce Casanova
Nonce Casanova
Né en 1873 et décédé en 1957.
Il est actuellement quasiment oublié puisqu’une seule de ses œuvres est encore rééditée.
, découvert dans Les contes des mille et un matins, je suis tombé sur des copies numériques de la vie mystérieuse — la collection presque complète. Cette revue bi-mensuelle spécialisée dans ce que nous appelons maintenant le paranormal, proposait souvent à ses lecteurs romans, contes et nouvelles dont les auteurs m’étaient pour la plupart inconnus. Ni une ni deux ! Me voilà parti en exploration !
Après la nouvelle de Jean Bouvier : Le Ménétrier du Diable, je me suis attaqué à ce court roman qui traite de façon magistrale — c’est mon avis — le mythe des créatures de la nuit revenues d’entre les morts et buveuses de sang.
Que dire de plus sans dévoiler — spoiler, comme disent certains — l’intrigue ? Peut-être tout simplement que toutes l’histoire se déroule dans un petit village perdu au fond de la campagne normande. Perdu mais pas inconnu, puisqu’il est sur toutes les bonnes cartes de France : Saint-Martin de Cenilly, à quelques kilomètres de Coutances et Saint-Lô. C’est l’occasion aussi pour l’auteur d’utiliser des termes du patois normand. Ainsi la demeure de notre vampire s’appelle le « Catet » qu’il faut comprendre tout simplement comme le château. Mais ces mots exotiques pour le horzain [1] sont peu fréquents et ne gênent en rien la lecture.
Et si vous en voulez la preuve, faites votre opinion en lisant la copie numérique que je vous propose. J’ai fait tout mon possible pour l’épurer des quelques coquilles tout en la gardant dans son jus.
[1] comprenez celui du dehors, celui qui n’est pas d’ici.