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Frank Herbert : La barrière Santaroga

dimanche 8 septembre 2019, par Denis Blaizot

Auteur : Frank Herbert
Titre français : La barrière Santaroga
Titre original : The Santaroga barrier (1968 1968 )
Éditeur : J.-C. Lattès (Coll. Titres-SF Titres-SF Cette collection de éditions J.C. Lattès, comprend 70 volumes dont certains ont été repris dans d’autres collections. : , N°16)
Année de parution : 1979 1979

Quatrième de couverture :

Santaroga : le nom d’une vallée isolée et tranquille de Californie. Trop isolée, trop tranquille... puisque ses habitants refusent tout contact avec l’extérieur, font fuir les touristes, boudent tous les signes distinctifs de l’American way of Life, du pétrole au supermarché... et accessoirement éliminent les curieux, victimes d’accidents mortels. Chargé d’enquêter sur la nature de cette mystérieuse barrière, Gilbert Dasein, un jeune psychologue de Berkekey, va peu à peu découvrir ce qui lie les Santarogans et les sépare du reste de l’humanité. Mais le piège ne s’est-il pas déjà refermé sur lui ? Un piège traîtreusement entêtant, un piège au parfum psychédélique !

Mon avis : Je ne suis pas un inconditionnel de Frank Herbert, loin s’en faut. Et si je me suis retrouvé à lire ce roman là, c’est tout simplement que j’ai du le trouver dans une brocante à 1 €, voire moins. Mais cette fois-ci je suis content de mon achat et de ma lecture.

On est, avec La Barrière Santaroga, très loin de la série culte de cet auteur : Dune. Ici, pas de vaisseaux spatiaux, pas de conquêtes interplanétaires ou d’empire galactique. Non. Tout simplement une vallée de Californie qui abrite la petite ville de Santaroga et sa communauté de 8000 âmes. Une communauté qui a mis en place une utopie qui gêne ceux de l’extérieur. Administrations d’état, entreprises, et autres curieux. Les Santarogans veulent avoir à faire le moins possible aux « extra-vallée ». Pourquoi ? Parce que... Non, je ne vais pas vous dévoiler l’intrigue. J’en ai dit bien assez. Une dernière petite chose : Ce roman a été écrit en 1968 1968 . 50 ans plus tard, rien dans son écriture ne permet de le dater de cette époque. Il pourrait tout aussi bien se dérouler de nos jours ou dans quelques années.

En bref : Un bon roman à lire sans hésiter.

PS : J’ai lu une chronique dont l’auteur semblait penser que La barrière Santaroga était une « resucée » de La ruche d’Hellstrom. Je n’ai pas lu ce dernier roman, mais je sais une chose : La barrière Santaroga a été publié 5 ans avant La ruche d’Hellstrom.

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