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Julien Morgan : Le grand plongeon 1 — Je m’appelle Charon
dimanche 9 février 2014, par
Auto-édition — 2012 2012
Synopsis :
Mon avis :Julien Morgan n’a pour l’instant été publié qu’en autoédition et uniquement en numérique. Ce qui n’enlève ou n’ajoute rien aux qualités et défauts de son travail.
Je ressors de cette première lecture avec un avis plutôt favorable, même si ce jeune auteur aurait besoin de se trouver un(e) bon(ne) relecteur(trice). L’histoire (croisement étrange entre Le Prix du danger, Running Man et Fort Boyard) est attrayante et bien menée, mais elle pêche par quelques petits défauts de styles présents principalement dans le début de ce premier épisode.
- Certains mots sont inventés ou mal utilisés (trémors et vernaculaire ; pour ne citer que les deux qui ont accrocher mon regard).
- Ce n’est pas parce qu’on est remercié d’un emploi que l’on reçoit une lettre de remerciement.
- Utiliser Charon comme un nom féminin m’a dérangé.
- Je n’ai pas vu la nécessité d’écrire avec des fautes d’orthographe volontairement ajoutées les répliques d’un enfant (ex : Souvent j’é peur dé zaraignées. ) Je l’aurait compris si ça avait été la retranscription d’un message écrit par l’enfant.
- effet de serre froid ? Voilà une notion qui, expliquée ici en deux lignes, intéresserait sans doute au plus haut point les climatologues.
- Pourquoi exprimer les vitesse en milles par heure et les distances en kilomètres ?
Bon je m’arrête là pour les critiques. Le deuxième épisode est gratuit aussi. Je vais certainement le lire pour consolider mon avis.
Après avoir entamer la lecture de l’épisode 2, j’en ressort avec un avis similaire : Un bon relecteur serait utile. Pour corriger quelques fautes de syntaxe ou de grammaire, bien sûr, mais surtout pour éviter de faire refaire la même chose à ses personnages. En effet, dans le premier épisode, il est dit, par je ne sais trop quel personnage, que Charon n’est pas obligé de gagner. Il suffit qu’il ne perde pas ou qu’il perde après ses adversaires. Et là, dans l’épisode 2, rebelote : L’un des personnages réagit que le plus important c’est que le gamin ne perde pas avant les autres. Bref, plutôt déçu par ce deuxième volet qui ne me donne pas envie d’en lire plus malgré de bonnes idées.