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James Grady : Condor.net
samedi 23 novembre 2013, par
Quatrième de couverture : Il y a trente cinq ans, de jeunes soldats américains mouraient dans une guerre impopulaire, Nixon était président et la CIA traquait des ennemis illusoires. James Grady écrivait Les six jours du condor, une histoire qui deviendrait mondialement célèbre, immortalisée par le film de Sydney Pollack avec Robert Redford.
Il y a vingt ans, François Guérif fondait la collection Rivages Noir.
Aujourd’hui de jeunes soldats américains meurent dans une guerre impopulaire, tandis que la maison blanche traque des ennemis illusoires. Pour célébrer les vingt ans de Rivages Noir, James Grady a fait revivre le condor à l’heure d’internet et de la communication planétaire.
Mons avis : Pour une nouvelle qui dépote, c’est une nouvelle qui dépote. Elle se déroule en à peine plus de vingt quatre heures, et dans ce délai très court une bonne quinzaine de morts. De l’espionnage pur et dur. De l’embrouille bien ficelée. Le Condor est victime d’une machination. Mais qui tire les ficelles ? Et notre héros pourra-t-il empêcher le guet-apens organisé contre un groupe de soldats américains en Afghanistan ? Peut-on écrire une longue chronique sur un texte de 70 pages sans en révéler l’essence ? Je vais donc conclure simplement sur des points importants du style : Dynamique, sans temps mort, très fluide. Un vrai plaisir.
En bref : Voilà le genre d’auteur que j’aime découvrir, qui me donne envie d’explorer un peu plus leur œuvre. J’en redemande, et je vais tenter de me retenir et ne pas acheter tout de suite d’autre s ouvrages de James Grady alors que ma pile de livre en attente de lecture est encore bien fournie. Si un de ses livres passe entre vos mains, n’hésitez pas. Lisez le.