Accueil > Polars, Thrillers et romans noirs > Collection « Un mystère » > Mickey Spillane : Pas de temps à perdre
Mickey Spillane : Pas de temps à perdre
mercredi 26 octobre 2022, par
Auteur : Mickey Spillane
Titre français : Pas de temps à perdre
Titre original : My Gun is Quick (1950 1950 )
Éditeur : Presses de la Cité (Coll. Un mystère
Un mystère
Collection de romans policiers en format poche reconnaissables par leur logo.
Créée à la fin des années 40, elle a perduré jusqu’à la fin des années 60 avant de changer de présentation puis de disparaître. De grands nom du roman policier ont eu le plaisir devoir une partie de leur œuvre publiée dans cette collection.
n° 37)
Année de parution : 1950 1950
Quatrième de couverture :
Et comme la série continuait et que les cadavres commençaient à s’entasser, j’ai fini par voir rouge.
Mon avis : Mickey Spillane, Mike Hammer. Qui ne connais pas ? D’ailleurs, il n’y a pas besoin d’être un inconditionnel du polar pour connaître au moins le nom de cet écrivain et de son personne légendaire. Et pourtant, il m’a fallu attendre cette année et l’achat compulsif d’un lot de volumes de la collection Un mystère
Un mystère
Collection de romans policiers en format poche reconnaissables par leur logo.
Créée à la fin des années 40, elle a perduré jusqu’à la fin des années 60 avant de changer de présentation puis de disparaître. De grands nom du roman policier ont eu le plaisir devoir une partie de leur œuvre publiée dans cette collection.
pour vraiment le découvrir. Et quelle découverte !
Pas de temps à perdre est le deuxième roman sur quatorze dont le héros est le célèbre Mike Hammer. Détective privé de l’entre-deux-guerre plusieurs fois adapté au cinéma et là a télévision, il est emblématique du roman noir américain. Dans ce petit roman d’un peu plus de 200 pages, il y a trois femmes assassinées, au moins deux passages à tabac en règle, quelques bagarres, beaucoup de verre d’alcool et de cigarettes de consommés. Et j’ai failli oublié ;-) une demi-douzaine de truand abattus dont le grand méchant. À son propos, j’ai été amusé par un fait assez classique : Hammer découvre l’identité du commanditaire de tout le fourbi. Pourtant, dès que ce personnage est apparu, j’ai eu un sérieux doute. Trop gentil pour être honnête. J’vous dis qui c’est ? Tut tut ! Lisez donc ce roman.
En bref : Voilà une lecture plaisante et je replongerai volontiers dans l’œuvre de Mikey Spillane. Mais aurais-je de nouveau l’occasion d’en découvrir des volumes dans les vides-greniers ou chez les bouquinistes ? Là est la question.