Accueil > Science-fiction, Fantasy, Fantastique > Roger Zelazny : Divine Madness

Roger Zelazny : Divine Madness

dimanche 2 avril 2023, par Denis Blaizot

Auteur : Roger Zelazny Roger Zelazny

Titrer original : Divine Madness

Première édition : : 1966 1966 (Magazine of Horror, Summer 1966 1966 )

J’ai découvert cette nouvelle par hasard en cherchant tout autre chose (Une nouvelle de Austin Hall Austin Hall Austin Hall (Santa Clara, California, USA, le 27 Juillet 1880 — 29 Juillet 1933) est un nouvelliste et romancier américain. Il a commencé à écrire lorsqu’on lui a demandé d’écrire une histoire alors qu’il travaillait comme cow-boy. Il a écrit des westerns, de la science-fiction et du fantastique pour divers magazines.

Il a également écrit sous les pseudonymes de Roy Ford, Andrew A. Griffin & Bucky McKenna.
, pour ne rien vous cacher). C’était pour moi l’occasion de lire du Roger Zelazny Roger Zelazny dans son jus. Cerise sur le gâteau ! Je découvre qu’il est probable qu’elle n’ait jamais été traduite en français. Je dis probable parce que je n’ai trouvé aucune trace d’une édition en français ni sur ISFDB, ni sur Noosfere. Mais je sais que ces deux sites ont parfois des lacunes. D’un autre côté, moi qui me targue d’avoir tous les volumes en français signés Zelazny, je ne la connaissais pas du tout.

Alors, ni une, ni deux... une petite (5 pages) lecture bien agréable mais pas facile. En effet, le thème choisi par l’auteur l’a obligé à jouer avec l’écriture de certains passages. Voilà pourquoi : Divine Madness nous conte un drame... et un voyage dans la folie. Notre héros revit à rebrousse-temps les dernières heures de sa vie. Ah ! J’ai envie d’en dire plus pour vous convaincre de l’intérêt de cette nouvelle, mais en même temps — sans jeu de mots — je ne voudrais pas gâcher le plaisir de ceux d’entre vous qui pourraient vouloir la lire.

Alors, hop ! un petit effort ! lisez-la. Même en anglais. ;-)

Et je comprends que les traducteurs l’aient boudée. Certaines phrases, correspondant à des périodes où le temps s’écoule à l’envers, sont écrites en inversant l’ordre des mots... du dernier au premier.

She stared in at him, her mascara smeared, tears upon her cheeks.

“ hell to go Then,” he said.

" going I’m.” she said.

She stepped back inside, closed the door.

She hung her coat hurriedly in the hall closet.

“it about feel you way the that’s If,” he said, shrugging.

"yourself but anybody about care don’t You,” she said.

“child a like behaving You’re,” he said.

“ sorry you’re say least at could You".