Accueil > Polars, Thrillers et romans noirs > Peter Cheyney : Cet homme est dangereux
Peter Cheyney : Cet homme est dangereux
mardi 5 novembre 2024, par
Titre français : Cet homme est dangereux
Titre original : This Man is Dangerous (1936 1936 )
Éditeur : Gallimard (Coll. Série Noire N°2)
Année de parution : 1961 1961
ISBN : n/a
Quatrième de couverture :
En plus, c’est la reine des tordues, et le plus chouette bout de femme dont puisse rêver un homme d’affaires surmené, le soir, à son bureau... souple comme une panthère et un châssis à bousiller des noces de diamant.
C’est vraiment une pitié qu’une môme comme elle aille fréquenter des boîtes louches".
Mon avis : Première aventure de Lemmy Caution, mais aussi premier roman publié de Peter Cheyney
Peter Cheyney
Peter Cheyney (Londres, 22 février 1896 — Londres, 26 juin 1951) est un auteur britannique de romans policiers et de romans d’espionnage. Il est le créateur des personnages de Slim Callaghan et Lemmy Caution, ce dernier popularisé au cinéma par l’acteur Eddie Constantine.
Acteur de théâtre sous le nom d’Hector Stuart, Cheyney utilise également les noms de plume d’Harold Brust et de Lyn Southney.
. Mais deuxième roman traduit en français de cet écrivain. Allez savoir pourquoi, Gallimard avait préféré ouvrir sa collection Série Noire par La môme vert-de-gris, deuxième roman de Peter Cheyney
Peter Cheyney
Peter Cheyney (Londres, 22 février 1896 — Londres, 26 juin 1951) est un auteur britannique de romans policiers et de romans d’espionnage. Il est le créateur des personnages de Slim Callaghan et Lemmy Caution, ce dernier popularisé au cinéma par l’acteur Eddie Constantine.
Acteur de théâtre sous le nom d’Hector Stuart, Cheyney utilise également les noms de plume d’Harold Brust et de Lyn Southney.
, avec, là encore, Lemmy Caution comme héros et narrateur.
J’ai lu ailleurs « lecture rendue ardue par la profusion d’argot français, alors que Lemmy, dans la V.O parle en slang américain ». Profusion d’argot français ? Oui. Bon, il y en a. J’ai vu pire. Par contre, pour le slang, je ne suis pas certain qu’il aiderait à la compréhension du roman par un lecteur français. Et si vous trouvez qu’il y a trop d’argot dans ce roman, n’essayez pas les romans d’Albert Simonin.
Revenons à nos moutons.
Que vaut c’bouquin ? Bah... Je lui trouve un côté bourrin un peu trop marqué. Plus que dans les quelques autres que j’ai pu lire de cet écrivain. Je note quand même que le héros picole moins( ça a été quand même pour moi l’occasion de découvrir une boisson alcoolisée que je ne connaissais pas : à base de jus pomme fermenté, ce n’est pas pour autant l’équivalent anglais du calvados : l’applejack.), se bat moins, mais est beaucoup moins diplomate. Et il est increvable. Deux balle dans le bras et il se bat sans souci... et remporte la bataille bien sûr. Roman noir des années 30 oblige, les femmes sont toutes jeunes et jolies. Et quand elles ne sont pas naïves... gare à vous. Mais Lemmy leur fait les yeux doux et les manipules toutes avec une facilité déconcertante.
Le scénario est-il crédible ? Tout juste. Est-ce agréable lire ? plutôt. Mais faut aimer.
En bref : Un roman noir à réserver aux adeptes du genre.