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Tonino Benacquista : La machine à broyer les petites filles

jeudi 4 novembre 2021, par Denis Blaizot

Auteur : Tonino Benacquista

Titre français : La machine à broyer les petites filles (nouvelles)

Éditeur : Rivages (Coll. Noir )

Année de parution : 1993 1993

ISBN : 2869307063

Quatrième de couverture :

Il suffit de prononcer le mot « colt » et l’on a changé de bord. Errer dans les rues avec un revolver en état de marche, c’est saisir la chance d’être un autre. Immédiatement, dès le tout premier contact, des idées me sont venues à l’esprit, des choses auxquelles je n’avais jamais pensé. Jamais. Une foire au crime, un chasseur de pizza, un balcon meurtrier, un violoncelle qu’on assassine et un Van Gogh gravé dans la peau sont autant de pièces d’un engrenage cynique et burlesque, un laminoir de l’innocence. Une machine à broyer les petites filles.

Sommaire :

  • Le jardin des mauvais garçons
  • Le balcon de Roméo
  • La foire au crime
  • Toute sortie est définitive
  • Suite logique
  • La culture de l’Elæis au congo belge
  • Cluedo privé
  • La nature est conne !
  • Le seul tatoueur au monde
  • Pizza d’Italie
  • Rouge paradis
  • Père courage
  • Toujours de l’audace !
  • Deux héros et l’infini
  • Requiem contre un plafond

Mon avis : J’ai eu l’occasion de découvrir Tonino Benacquista en 2013 2013 quand, par le plus grand des hasards j’ai acheté un petit volume hors collection ne contenant que deux nouvelles : La boite noire, suivi de Deux héros et l’infini. J’avais beaucoup aimé. Alors quand j’ai découvert ce petit recueil de nouvelles, j’ai fait une deuxième tentative avec l’œuvre cette écrivain.

Je ne vais pas faire un point pour chaque nouvelle. elles sont toutes très bonnes. Certaines bourrées d’humour. D’autres très glauques. Certaines sont de vrais petits Thrillers, quand d’autres sont simplement très noires.

La première est très sombre et me fait penser par certains côtés à la nouvelle de Pierre Siniac : Sinistrose. Le seul tatoueur au monde se rapprocherait, elle, des nouvelles de Jean Ray Jean Ray Raymond Marie de Kremer, principalement connu par ces deux pseudonymes, est un auteur très prolifique. Il aurait rédigeait près de 15000 textes sous une trentaine de pseudo. Aussi cette page n’a aucune prétention à l’exhaustivité. Simplement, permettre de trouver facilement dans quel recueil l’une ou l’autre de ces nouvelles a été publiée en français sous les noms de John Flanders ou de Jean Ray. . Et en cherchant bien, je pourrais sans doute, comme ça, trouver une similitude avec l’œuvre de l’un ou l’autre de mes auteurs préférés. Mais ce ne serait pas honnête envers l’auteur. Son œuvre est bonne et je ne peux qu’avoir envie d’en lire d’autres portions. Je dois d’ailleurs avoir Saga dans un coin.

En bref : Un auteur de polar à ne pas rater. Je vais bien trouver le moyen... et le temps, d’en lire d’autres tires. Et je vous invite à en faire autant.

P.S. : J’ai oublié de relever que j’ai pas trouvé le lien entre le titre du recueil et son contenu. :-)

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