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Dimension Arlton Eadie
mardi 1er avril 2025, par
Il devrait y avoir 3 volumes incluant presque tous les textes publiés dans Weird Tales. Mais l’œuvre de Arlton Eadie
Arlton Eadie
Nom-de-plume de l’écrivain britannique Leopold Eady (1886-1935) spécialisé dans le roman policier et le fantastique.
Ses œuvres sont quasi introuvables sur internet, hormis ses publications dans Weird Tales.
— nom-de-plume de Leopold Eady (1886
1886
-1935
1935
) — est bien plus étendue. Toutefois, il semble que le reste soit à classer polar/frileur.
Tome 1
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Tome 2
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Tome 3
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La majorité est à connotation fantastique, un petit nombre SF et quelques-unes sont plus des aventures africaines ou indiennes. Nous avons écarté ces dernières.
- The Siren of the Snakes (1927 1927 ) — aventure indienne
- Le vampire blanc — The White Vampire (1928 1928 ) — aventure africaine
- Le lien invisible — The Invisible Bond (1930 1930 ) — aventure africaine
- La maison du crâne — The House of the Skull (1930 1930 ) — aventure indienne
Pour le plaisir des yeux, quelques couvertures d’une partie des polars.
Crimson Query
En deux parties dans Hutchinson’s Adventure & mystery
Puis en un volume :
Murder manor
Murillo Mystery
[1] En 2010, John Pelan a réédité ce roman. Dans sa préface, on peut lire :
Le livre que vous tenez entre vos mains n’est pas exactement celui que j’ai vilipendé plus haut. En fait, c’est un cheval (ou un centaure) d’une toute autre couleur. Il y a quelques années, j’ai appris que le roman d’Eadie, The Carnival of Death, avait été publié sous forme de feuilleton dans Weird Tales. Des recherches ultérieures ont révélé que Skeffington’s avait publié une version en livre de The Trail of the Cloven Hoof en 1935 ; et c’est ainsi qu’a commencé une dizaine d’années d’interrogations... Était-il possible qu’un auteur au sommet de sa gloire ait produit une œuvre aussi maladroite que celle que j’avais lue dans Weird Tales ? Ou bien était-il plus probable que la main éditoriale parfois lourde de Farnsworth Wright ait fait un travail de hachette sur le roman d’Eadie ? Après des années de recherche, j’ai enfin eu ma réponse l’année dernière, lorsqu’un libraire australien m’a déniché un exemplaire du livre.
Pelan a-t-il confondu les deux romans ? Après vérification, il s’avère qu’il y a peu ou pas de différence entre le texte publié dans Weird Tales et celui édité par Dancing Tuatara Press à l’initiative de John Pelan. Ce dernier étant sensé reprendre le texte de Skeffington’s. Donc il a confondu les deux œuvres. Par ailleurs, je n’ai trouvé aucune trace d’une édition en volume de The Carnival of Death qui permettrait de confirmer un travail destructeur de la part de Farnsworth Wright.